L’avocat du groupe Renault s’est livré à un numéro d’équilibriste devant la cour d’appel de Versailles : il s’agissait de convaincre la présidente du tribunal que les problèmes des moteurs 1.2 TCe défectueux avaient été corrigés dès 2015. Une note interne à Renault et un document judiciaire prouvent pourtant qu’il n’en est rien.
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